Que faire en cas de malaise cardiaque ?

Sentez-vous une douleur thoracique en barre ? Sentez-vous une douleur qui ressemble à un écrasement ? Ou encore une lourdeur très forte, qui ne passe pas, des compressions ? Ressentez-vous une douleur qui s’étend de la poitrine vers un ou deux bras, la mâchoire ou les épaules, jusqu’au cou ? Attention, tout cela représente des signes avant-coureurs d’une crise cardiaque.

Qu’est qu’une crise cardiaque et comment l’identifier ?

Une crise cardiaque est un malaise qui survient généralement lorsqu’un caillot sanguin empêche l’apport en sang au cœur. Lorsque le tissu arrête d’être irrigué, il y a un manque d’oxygène et ce tissu meurt. Chaque année, beaucoup de personnes meurent d’une crise cardiaque si l’intervention arrive un peu tard. Pour éviter cette tragédie, vous devriez reconnaître et réagir face aux signes avant-coureurs d’une crise cardiaque.

Les symptômes d’une crise cardiaque sont nombreux et non exhaustifs. Ils s’interprètent souvent par : une faiblesse générale, de la pâleur, de l’anxiété, une douleur qui s’étend de la poitrine vers un ou deux bras, vers le cou, la mâchoire ou les épaules, des vomissements, un essoufflement, des sueurs des nausées, une indigestion, etc. Il urge alors d’en parler à une proche personne ou d’appeler les urgences au plus vite. Il est aussi important d’avoir toujours des outils de soin ou de premier secours près de vous comme un défibrillateur Restenvie, par exemple.

Comment réagir en cas de malaise cardiaque ?

Si vous remarquez les symptômes cités plus haut chez un proche ou toute autre personne, surtout des douleurs aiguës et qui persistent dans la poitrine, se propager dans le bras gauche et dans le cou, la personne fait vraisemblablement une crise cardiaque . Voici quelles aptitudes à adopter dans de pareille circonstance. D’abord, la personne qui pense qu’elle est en train d’endurer une crise cardiaque doit instantanément cesser toute activité. Cette personne doit rester immobile en attendant les secours.

En premier lieu, la personne souffre déjà des problèmes cardiaques, donc elle dispose sûrement d’un traitement médical. Il faudra mettre ses médicaments à porter de main et l’assister à les prendre. Faites surtout attention pour ne pas donner des médicaments pour le cœur si vous n’êtes pas sûr du régime suivi par la personne victime. Ensuite, il peut s’agir d’une première fois pour la personne. Là, il faudra faire asseoir la victime si elle est consciente et contacter les services d’urgence. Troisièmement, il peut arriver que la victime perd connaissance mais respire toujours. Il faut placer la victime en position latérale de sécurité : allonger la victime sur le flanc en repliant sa jambe du dessus pour la stabiliser. Lui ouvrir la bouche pour l’empêcher de s’étouffer en cas de vomissements. Contactez les services d’urgence. Enfin, le cas le plus grave, la victime perde connaissance et ne respire plus. Vous devez immédiatement contacter les services d’urgence. Si vous avez suivi une formation de premiers secours, commencez une réanimation cardio-pulmonaire, en alternant 30 compressions thoraciques et 2 insufflations (bouche-à-bouche), jusqu’à l’arrivée d’une équipe médicale.

Comment prévenir les malaises cardiaques ?

Il est bien possible de prévenir les crises cardiaques en adoptant de bonnes habitudes alimentaires : Il est convenable de prendre beaucoup de fruits et de légumes, de la viande maigre, du poisson et des légumineuses, et de diminuer la consommation de sel, de graisses et de sucre. Il vous faut aussi pratiquer régulièrement des activités physiques : 20 minutes d’exercice habituellement chaque jour et au moins 60 minutes régulièrement dans la semaine, aide à maintenir un poids de forme, surveiller votre poids. Il faut aussi abandonner le tabac sous toutes ses formes : la cigarette, le cigare, la pipe ou le tabac à mâcher, modérer votre consommation de boissons alcoolisées, appliquer une meilleure gestion du stress et faire un suivi médical régulier. Il faut également vérifier les facteurs de risque des maladies cardiovasculaires et des AVC tels que l’hypertension artérielle, un taux élevé de cholestérol et de sucre ou le diabète.